Grace à la physique quantique, il n’est plus possible de nier l’effet objectif de thérapies sous prétexte qu’elles vont à l’encontre des théories scientifiques traditionnelles.
Toutefois, nous sommes encore très loin d’une véritable compréhension. Le premier congrès national de thérapies quantiques, créé par madame Marion Kaplan, les 20 et 21 novembre 2010 est né sur une idée : mieux comprendre le Quantique.
Deux conférences, présentées la première matinée par des personnalités éminentes, le docteur Quemoun et le professeur Emmanuel Ransford, nous ont introduit dans ce monde nouveau. Le docteur Quemoun a brillamment présenté ses travaux sur l’homéopathie démontrant que des hautes dilutions ont des effets sur le cerveau.
Le Professeur E. Ransford, polytechnicien, a tout d’abord exposé les bases de la physique quantique, puis son hypothèse sur l’existence d’éléments immatériels présents dans la matière ayant un pouvoir de décision. Ces éléments constitueraient un réseau contenant des informations.
Ces hypothèses permettraient alors d’expliquer l’action des techniques de soins dont on ne comprend pas les mécanismes.
Toutefois, nous sommes encore très loin d’une véritable compréhension. Le premier congrès national de thérapies quantiques, créé par madame Marion Kaplan, les 20 et 21 novembre 2010 est né sur une idée : mieux comprendre le Quantique.
Deux conférences, présentées la première matinée par des personnalités éminentes, le docteur Quemoun et le professeur Emmanuel Ransford, nous ont introduit dans ce monde nouveau. Le docteur Quemoun a brillamment présenté ses travaux sur l’homéopathie démontrant que des hautes dilutions ont des effets sur le cerveau.
Le Professeur E. Ransford, polytechnicien, a tout d’abord exposé les bases de la physique quantique, puis son hypothèse sur l’existence d’éléments immatériels présents dans la matière ayant un pouvoir de décision. Ces éléments constitueraient un réseau contenant des informations.
Ces hypothèses permettraient alors d’expliquer l’action des techniques de soins dont on ne comprend pas les mécanismes.
Quelles attitudes face à la souffrance ? 
Formation à Paris
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